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Comme la fleur d’oranger s’ouvre et se propage à travers son parfum, ainsi inversement, nous nous fermons en percevant son arôme. Et nous pouvons concentrer notre mémoire en un souvenir qui apparaît sans que nous le cherchions, si rapidement que nous le considérons comme une évocation casuelle. C’est celui-ci un sujet de profondes études ; de grands astrologues ont consacré leur vie entière à déchiffrer de telles énigmes. « L’essence de la fleur qui s’ouvre et son parfum exhalé sont l’aliment d’autres entités qui, à leur tour, expireront leur énergie afin que la vie se perpétue. Les hommes nous nous trouvons au milieu de cette situation rythmique, en elle, participant d’un ‘show’, dans une seule boîte magique, sans l’avertir. Respirant de façon mécanique, consumant l’existence, sentant sous forme conditionnée, pensant de manière littérale ». Arrêtez, illustres sages ! Vos paroles altèrent nos consciences, échauffent les émotions et la tête. Soyons amiables : quel besoin avez-vous de tout détruire et de tout retourner ?