| VERS 
        LA TRADITION. Actes des Journées traditionnelles à Reims. 
        "Autorité 
        Spirituelle et Pouvoir Politique". 14, 15 y 16 de Noviembre 1986. 'Dans 
        le cadre de la commémoration du Centenaire de la naissance de René 
        Guénon'. 14, avenue du Général de Gaulle - B. P. 
        193. 51009 Châlons sur Marne, cedex. FRANCE. 107 pp. Dirigée 
        par Roland Goffin.  SOMMAIRE: 
        A NOS LECTEURS; PROPOS INAUGURAUX; MESSAGES; Jean Tourniac: Une Cité 
        Traditionnelle pour ce siècle?; Roland Goffin: Réflexions 
        pour une conception traditionnelle de la Cité; Henri Hartung: 
        Une Cité traditionnelle Vivante: Ramana Maharshi; Kheireddine 
        Badawi: La Cité Islamique; Message Du Cheikh Khaled Bentounes; 
        Cheikh Ahmed Ben Mustapha Al-Alawi: Bismillah Erahman Erahim Lotfiya; 
        Jean Pierre Laurant: Les récits de voyageurs dans quelques écrits 
        et correspondances de René Guénon; "Reims, Cathédrale 
        du Sacre" (Film) et discussion entre Paul Barba-Negra, Jean Hani, Patrick 
        Demouy et l'Abbé Jean Goy; Jeanne-Henriette Louis: Autorité 
        spirituelle et pouvoir politique à Philadelphie dans l'Amérique 
        coloniale; Jean Hani: Que faire dans la Cité d'aujourd'hui; 
        Michel Michel: Légitimité et communauté: de la 
        communauté comme mésocosme; CONCLUSION.     Cette 
        publication recueille dans un unique volume les conférences qui 
        eurent lieu à Reims, parrainées par la revue VERS 
        LA TRADITION en raison su centenaire de la naissance de Guénon, 
        sous le titre "Autorité spirituelle et pouvoir politique (une 
        cité traditionnelle est-elle encore possible?)".    Nous 
        voulons avant tout souligner la qualité de ce travail collectif, 
        dont nous apprécions non seulement l’opportunité qu’il nous 
        donne de vérifier que certains aspects fondamentaux de la doctrine 
        traditionnelle sont vivants et toujours d’actualité, mais aussi 
        l’effort fourni par la plupart des auteurs afin de donner une critique 
        constructive de "l’état actuel des choses", si nous pouvons 
        nous exprimer ainsi. L’on y trouve, en général, une volonté 
        manifeste de découvrir, comme le dit Jean Tourniac, "les possibilités 
        d’application" des principes métaphysiques dans l’ordre social 
        actuel, et l’on y arrive à d’intéressantes conclusions qui 
        nous font renvoyer le lecteur aux textes originaux car le but de ces lignes 
        n’est pas d’en faire un exposé détaillé, ce qui serait 
        à la fois ardu et en quelque sorte négligeant, car il nous 
        semble important de tenir compte aussi bien du contexte dans lequel se 
        développent certaines idées de type politique que des arguments 
        exposés, thèmes où nous ne voulons pas entrer car 
        il sont en-dehors du point de vue symbolique qui est celui qui nous intéresse 
      ici.    Cela 
        étant, Monsieur R. Goffin précise cependant dans son intervention, 
        et au nom des participants, qu’ils ne tentent pas de s’ériger en 
        politiciens ou idéologues de la ville en fabriquant des systèmes 
        sur des a priori ou de pseudo-principes, ce qui est en général, 
        permettons-nous de l’ajouter, caractéristique des agissements actuels 
        des politiciens et architectes modernes.    Nous 
        disons architectes bien qu’aucun des articles ne traite du problème 
        complexe de la ville "physique", de la structure urbaine qui 
        croît par addition et non pas par juxtaposition organique, comme 
        ce serait souhaitable dans la presque totalité du monde moderne. 
        Il ne s’agit pas là d’une considération aussi générique 
        qu’il semblerait, car une "ville traditionnelle" l’est autant 
        pour sa structure sociale que pour sa structure urbaine, celle-ci remplissant 
        la fonction de support "physique", fonction qui, soit dit en 
        passant, lui est conférée en vertu du rite fondateur, ce 
        qui prouve son adaptation aux principes métaphysiques. Et cet aspect 
        important (l’on peut même dire fondamental) n’est pas passé 
        inaperçu de Guénon, car il est à la base même 
        de "l’idée" de ville : c’est le rite qui confère 
        la validité à l’ordre. L’urbanisme a toujours été 
        une question politique (au sens noble des termes), bien qu’il faille observer 
        dans l’actualité que c’est précisément le contraire : 
        c’est la politique vulgaire qui s’appuie sur un urbanisme vulgaire, de 
        façon que les architectes et les urbanistes modernes parviennent 
      à avoir plus de "pouvoir" que les politiciens.    R. 
        Goffin se montre néanmoins totalement sceptique en ce qui concerne 
        "les possibilités d’application" des sources traditionnelles 
        dans la société actuelle (bien qu’un peu plus optimistes, 
        J. Hani et J. Tourniac sont de son avis), en raison de la "subversion", 
        comme l’appelle J. Hani, de la science et de l’art contemporains. Il soutient 
        cependant que, ce qui n’est pas possible au niveau collectif l’est au 
        niveau individuel, ce qui revient à dire que la (re)construction 
        d’une ville traditionnelle, ce qui ne signifie pas idéale ou utopique, 
        passe par un véritable changement interne, de l’intérieur 
        vers l’extérieur, car l’extérieur ne peut pas voire même 
        ne doit pas s’ordonner sans une indispensable "attitude" intérieure 
        s’occupant du non-personnel. Les auteurs cités s’accordent à 
        l’exprimer par la phrase biblique regnum Dei intra vos est. Ce 
        serait certainement, il nous semble, la seule façon d’envisager 
        un changement profond de l’actuelle polis : de l’individuel 
        vers l’universel en passant par le général, où était 
        précisément encadrée la structure sociale comme une 
        "forme" limitrophe ou une charnière entre les principes 
        transcendants et la concrétisation physique ou corporelle. Nous 
        regrettons cependant que, en ce qui concerne les voies par lesquelles 
        ce changement interne peut être effectif, aucun des auteurs ne se 
        réfère à la tradition hermétique/alchimique, 
        tradition ésotérique et occidentale par antonomase et qui 
        constitue, pourrions-nous dire en reprenant une expression de R. Goffin, 
        notre véritable forma mentis. Pour dire ces mots, nous nous 
        basons sur Guénon lui-même qui, dans La Grande Triade, 
        ch. XIX, fait le rapport entre Soufre-Mercure-Sel et regnum Dei 
        intra vos est. Nous savons que la doctrine traditionnelle n’adopte 
        pas forcément une forme religieuse pour être tout aussi efficace.    À 
        ce sujet, il nous semble pour le moins curieux, tout comme l’est par ailleurs 
        le fait que, dans toute l’œuvre que nous commentons, n’apparaisse pas 
        substantiellement le mot symbole, qu’aucun des auteurs intervenant durant 
        les Journées ait mentionné un aspect que nous considérons 
        d’une importance capitale et qui établit un rapport fondamental 
        avec la tradition hermétique. Nous nous référons 
        au fait que Guénon fasse la relation entre autorité spirituelle 
        et pouvoir temporel avec, respectivement, "Les Grands Mystères" 
        et "Les Petits Mystères" (Autorité spirituelle 
        et pouvoir temporel, ch. VIII et La Grande Triade, ch. IV) 
        et en citant littéralement un paragraphe de De Monarchia 
        de Dante. De fait, M. Michel cite ce paragraphe pour appuyer une autre 
        citation de Saint Thomas d’Aquin qui se réfère à 
        la politique comme étant « la science qui traite de l'objet 
        le plus noble et le plus parfait qui puisse atteindre l’homme dans cette 
        vie... » ce qui dénote en outre une parfaite concordance avec 
        la philosophie aristotélicienne (cf. par exemple le début 
        de Éthique à Nicomaque), bien qu’il ait par la suite 
        tout simplement abandonné cette idée et passe à son 
        étude qui, soit dit en passant, se place dans la perspective d’un 
        "sociologue chrétien", comme il se définit lui-même, 
        ce qui suscite de nombreuses objections parmi lesquelles nous soulignerons 
        celle qui fait référence à la trahison que représente, 
        selon lui, le fait de "jouir" en solitaire de la tradition. 
        Il n’y a qu’à se rappeler qu’Aristote lui-même, pour demeurer 
        dans le même domaine, insiste dans le livre X de Éthique 
        à Nicomaque, que l’activité intellectuelle du philosophe 
        le rend "autosuffisant" par-dessus les autres occupations puisque, 
        des trois "styles de vie" qui, selon lui, sont possibles, la 
        politique est le second tandis que le plus élevé correspond 
        à celui des philosophes, ce que l’on retrouve également 
        chez Platon, avec des références plus explicites au chemin 
        initiatique.       Le 
        pouvoir temporel fait référence à la pleine réalisation 
        des possibilités que l’homme contient, à l’obtention d’un 
        état "édénique" où sont résolues 
        non seulement les questions concernant le bon ordre de la polis 
        (de "l’état bon en soi"), mais aussi, fondamentalement, 
        la dualité qu’implique avec le monde tout point de vue relatif 
        ou toute vision privative ou séparée de l’individu. Le pouvoir 
        temporel se réfère à la réalisation de la 
        perfection humaine, à la fin des "Petits Mystères" 
        et donc le pouvoir politique n’épuise pas le pouvoir temporel, 
        bien que ce dernier puisse être pris symboliquement comme son paradigme. 
        Et c’est là une chose que formulèrent clairement les philosophes 
        grecs (surtout Platon dans La République et Aristote dans 
        Éthique à Nicomaque et Politique) : un 
        législateur n’est pas pour eux un politicien de plus, tout comme 
        un éducateur n’est pas un père de plus, ou un architecte 
        n’est pas un technicien de plus dans la construction d’un édifice 
        ou d’une ville. Ici, comme en tout ce qui concerne le point de vue symbolique, 
        il ne faut pas perdre de vue que la hiérarchie des idées 
        s’établit de haut en bas, étant une expression de la cosmogonie, 
        et par conséquent l’inférieur est le symbole du supérieur 
        et non l’inverse. Tout aussi importante est la constatation que la tradition 
        occidentale coïncide, au sujet de la doctrine métaphysique, 
        sur ce point et sûrement sur d’autres, avec la tradition hindoue, 
        et ce n’est pas par hasard (et c’est aussi très significatif) que 
        Guénon ait précisément choisi Dante pour étayer 
        cette analogie et non pas Saint Thomas d’Aquin ou Aristote.    Il 
        nous reste pour terminer à mentionner l’article de H. Hartung où 
        il établit une série d’analogies non dénuées 
        d’intérêt entre Guénon et son œuvre et Ramama Maharshi ; 
        le colloque entre plusieurs assistants sur le film "Reims, Cathédrale 
        du Sacre" qui, à en juger par les commentaires, semble 
        très intéressant et que nous regrettons n’avoir pas eu l’occasion 
        de voir. VERS 
        LA TRADITION: "Répandre la lumière et rassembler ce qui 
        est épars". 
        14, avenue de Général de Gaulle; B. P. Nº 193, 51009 Châlons-en-Champagne 
        Cedex, France. Trimestriel. Depuis 1993, 64 pages.    Cette 
        publication, dirigée par Roland Goffin, existe depuis ans en 1991, 
        diffusant « la Tradition, une et universelle, mais diverse dans ses 
        formes d'expressions » conjointement avec l’Association des Amis 
        de Vers La Tradition qui déclare : « l’œuvre de René 
        Guénon orientera fondamentalement ses voies de recherches, son 
        action, ses formulations, mais en harmonie avec tous autres auteurs, doctrines 
        et autorités conformes aux principes traditionnels ».. En 
        effet, ce groupe a travaillé concrètement à la tâche 
        qu’ils se sont assignée et les fruits de ce labeur ont été 
        un numéro spécial commémorant le centenaire de la 
        naissance de Guénon, l’organisation des "Journées Traditionnelles 
        de Reims", dont ils ont également publié les actes, 
        et, actuellement, la création des "Sessions d’études 
        traditionnelles", prévues pour l’été, qui pourraient 
        se répéter périodiquement. L’on annonce également 
        pour bientôt une numéro spécial consacré à 
        "Art et Tradition".    Cette 
        revue compte parmi ses collaborateurs réguliers messieurs Roland 
        Goffin, Jean Tourniac, Gaston Georgel, Henri Hartung, Jean-Pierre Laurant, 
        Nikos Vardhikas, etc., ce qui est déjà en soi une indication 
        du niveau doctrinal de ses publications auquel elle joint la ferveur toujours 
        renouvelée de ceux qui, ayant trouvé ce qu’ils cherchaient, 
        ressentent le besoin de le partager avec d’autres, tâche à 
        laquelle ils consacrent tout simplement leur vie. Notre intention est 
        de commenter régulièrement et en détail cette publication 
      aussi riche que militante et sans implications "politiques".    Les 
        sessions sur le thème "Quelle humanité ? Demain..." 
        furent organisées par "L’Association des Amis de Vers la Tradition" 
        et dirigées par Roland Goffin. Elles eurent lieu à Reims 
        (France), du 31 août au 2 septembre 1991. Y participèrent 
        des écrivains et des artistes d’importance liés à 
        l’œuvre de René Guénon, comme Jean Tourniac, président 
        d’honneur, et Jean Hani, président de fait, ainsi que d’autres 
        intervenants d’importance moindre, qui examinèrent le thème 
        sous diverses perspectives. Nous en donnerons une liste complète 
        pour n’en exclure aucun : J. Biès, J. Borella, D. Boubakeur, 
        D. Cologne, P. Demouy, D. Devie, H. Giriat, R. Goffin, M. A. Grimbert, 
        A. H. I. Guiderdoni, A. de Kerros, J. H. Louis, P. Marcelot, Abd al Wahid 
        Pallavicini, J. P. Sironneau, P. Vaillant, M. Van Parys, N. Vardhikas.    Durant 
        ces Journées se tinrent de plus diverses tables rondes avec la 
        participation de plusieurs des conférenciers, Michel Michel et 
        Paul Barba Negra ; ce dernier, cinéaste, présenta également 
        ses travaux, et des œuvres plastiques furent exposées. Les actes 
        de ces sessions se publieront durant le second semestre 1992 comme cela 
        avait été fait avec les précédentes sous l’égide 
        de "Vers la Tradition" et il est possible de s’y abonner.     Nº 
        48 (Juin-Juillet-Août 1992). 
        A la section livres se trouve un ample commentaire (environ sept pages 
        de notre format) sur le premier numéro de SYMBOLOS. 
        Signé par John Deyme de Villedieu, l’article examine chacune des 
        participations de nos collaborateurs et octroie à SYMBOLOS 
        une importance inattendue pour une publication en espagnol. Nous attendons 
        la suite du travail de critique de Monsieur de Villedieu, car il n’a fait 
        le compte-rendu que d’une partie du premier numéro de notre revue.    Nº 
        49 (Septembre - Octobre - Novembre 1992). 
        Dans ce numéro s’achève le long et minutieux examen que 
        Monsieur Deyme de Villedieu fait passer à notre revue, article 
        par article, et qui avait été commencé en août 
        de l’an dernier. SYMBOLOS remercie les responsables 
        du compte-rendu de l’attention qu’ils nous portent, et accepte et considère 
        les critiques qu’ils ont émises.    Nº 
        51-52 (Mars-Avril-Mai-Juin-Juillet-Août 1993). 
        De ce double numéro, bien que tous les articles possèdent 
        un grand intérêt, nous voulons insister, pour différentes 
        raisons, sur les travaux suivants : Entour de la Tradition et 
        de la Parole perdue, De l'unité immanente des religions orthodoxes, 
        Destin eschatologique de la Franc-Maçonnerie, La semaine (si 
        pleine de trouvailles linguistiques) et Sur la suite des nombres "premiers".. 
        Pour des raisons particulières, et fondamentalement par manque 
        de temps, nous ne pouvons faire le compte-rendu de chacun des articles 
        importants de cette revue, comme nous le souhaiterions, car ils le méritent. 
        C’est également le cas pour d’autres publications signalées 
        dans Revue de Revues ; mais nous voulons préciser que cette 
        section de SYMBOLOS porte ce nom parce que, 
        dès le commencement, nous avons seulement voulu mettre en évidence 
        certains moyens traditionnels pouvant être utiles au travail intellectuel 
        et au rite de sagesse de nos lecteurs. Nous recommandons ainsi la lecture 
        de cette revue dans son ensemble, dont l’un des plus grands apports est, 
        selon nous, de "réunir" ce qui est dispersé (ainsi 
        le dit la devise de la publication), ce qui n’est pas un mince labeur, 
        ni au sens profond, ni au sens littéral, si on l’applique à 
        la conciliation des différents points de vue envisageables pour 
        la lecture de l’œuvre de Guénon, ce qui témoigne de sa validité 
        universelle. Il est donc logique que chacun choisisse sa propre voie (ou 
        darshana) en optant soit pour une forme traditionnelle, soit un 
        aspect de cette forme traditionnelle, par exemple, la cosmogonie comme 
        support de la métaphysique (ce qui est très net dans la 
        Maçonnerie), qu’il pourra trouver de façon unanime en faisant 
        des recherches dans d’autres traditions qui ont dû connaître 
        comment est, ou ce qu’est le cosmos pour aspirer à le transcender, 
        ou plutôt pour se libérer se leurs propres illusions en détruisant 
        ou dissolvant le pouvoir du Démiurge. Mais tous ne croient pas 
        que les génuflexions et la piété religieuse soient 
        nécessairement assimilables à cette aspiration, elles tendraient 
        plutôt, au contraire, à se confondre avec, à l’instar 
        des morales qui mettent l’accent sur les comportements individuels et 
        relatifs.    Nº 
        53 (Septembre-Octobre-Novembre 1993). 
        Nous relèverons dans ce numéro les études de Tara 
        Michaël et Jean Cantiens qui, bien que signalant des aspects différents 
        de la Tradition Hindoue, se complètent harmonieusement dans l’ensemble 
        de la revue.    L’Éloge 
        de l’Égocentrisme est des plus intéressants (nous avons 
        remarqué que beaucoup des articles de V.L.T. 
        sont signés de pseudonymes, dont un signé Aymon) et aussi 
        l’article de R. Goffin, synthétique. Nous recommandons aussi la 
        lecture du texte signé par le Centre d’Études Métaphysiques 
        "René Guénon" de Milan, qui est la suite 
        d’un autre, publié dans le numéro 50. Nous devons également 
        souligner les mentions correspondant à nos numéros 3 et 
        4, de la main de J. Deyme de Villedieu.    Nº 
        55 (Mars-Avril-Mai 1994). 
        Ce numéro comprend un compte-rendu du Nº5 de SYMBOLOS, 
        dans lequel se distingue la note sur La Sardane, danse symbolique, 
        de notre collaborateur A. Guri. * 
        * *          Les 
        12 et 13 octobre 1996, les Amis de Vers la Tradition 
        organisèrent, à Reims, "De la Suprématie du Spirituel 
        sur le Temporel" qui bénéficia des interventions suivantes : 
        Roland Goffin: Liminaire; Finalité spirituelle et finalité 
        temporelle; Philippe Bouet: Autorité et Pouvoir en Franc-Maçonnerie; 
        Michel Rouge: " 'Amr" et "Hukm", Autorité Spirituelle et pouvoir 
        temporel en Islam; Nikos Vardhikas: Le modèle trinitaire, 
        ou de la source commune au sacerdoce et à la royauté; 
        Patrick Demouy: Clovis et l'Eglise; Max Célérier: 
        Rapports du spirituel et du temporel dans l'art; Jean Hani: Le 
        Sacré-Cœur, le Graal et la royauté; Rabbin Haïm 
        Korsia: Onction et Baptême dans le Judaïsme; Abd-al 
        Haqq Guiderdoni: Autorité Spirituelle et pouvoir temporel dans 
        la perspective eschatologique; Philippe Vaillant: Autorité 
        Spirituelle et pouvoir temporel dans la chanson de geste "Les 4 fils Aymon"; 
        Bruno Etienne: "Sacré, profane, sacerdoce" le point de vue de 
        l'anthropologie; Michel Michel: "La voie héroique" dans 
        le christianisme; Shaykh' Abd-al-Wâhid Pallavicini: Dans 
        l'attente de la réunion des deux pouvoirs. 174 pp.    Les 
        9 et 10 octobre 1999 eut lieu, à Châlons-en-Champagne, parrainé 
        par cette revue et par Le Cercle Melki-Tsedeq, l’événement 
        suivant : VI Colloque "Fin du 2e. Millénaire 
        du cycle Chrétien… et Fin de l'âge sombre?", 
        publié en juillet 2000. 180 pages. * 
        * * [Voir 
        aussi  Chapitre 
        IX : "FRANC-MAÇONNERIE"] * 
        * * [Voir 
        aussi, en castillan, les notes de lecture de : 
          "Quelle humanité? demain..." 'Nouvel-age 
        et Techno-nature ou les défis d'un monde crépusculaire'. 
        Actes du Colloque organisé à Reims du 31-8 au 2-9-91 pour 
        le 40e anniversaire de la mort de René Guénon.
  "Pour 
        Nous, René Guénon. 1886-1951". Hommage 
        pour le cinquantième anniversaire de son retour à Dieu. 
        Ce que nous lui devons". París, 
        2001.]
 |